Art-thérapie et risques psychosociaux
Le burn-out dans le classement international des maladies. Quelques jours après la publication de mon article […]
Quelques jours après la publication de mon article intitulé Art-thérapie et risques psychosociaux, nous apprenions que l’Organisation Mondiale de la Santé, dans le cadre de sa 72ème assemblée, avait déclaré que le burn-out faisait maintenant partie de son classement international des maladies.
Un peu plus tard, un porte-parole de l’OMS a rectifié l’information en indiquant que le burn-out était déjà inclus dans la classification en tant que “facteur influençant l’état de santé”.
Il est aisé d’imaginer les avantages qu’une classification particulière pourrait apporter lors de la prise en charge des personnes frappées par le syndrome d’épuisement professionnel :
Pour rappel, le burn-out se traduit par les signes suivants :
Ces signes se retrouvent chez beaucoup de personnes en souffrance.
Mais lorsque ces signes sont ceux d’un mal-être au travail, il est important de responsabiliser les entreprises, afin qu’elles interrogent leur manière de manager et qu’elles tentent de trouver des solutions, en lien avec des professionnels du soin.
En effet, le burn-out est un mal-être lié au travail, dont l’origine ne doit pas être confondue avec la vie personnelle du travailleur, bien que les effets du burn-out finissent par envahir sa vie privée.
L’art-thérapie peut aider à évacuer et apaiser les tensions liées au syndrome d’épuisement professionnel, car elle permet au travailleur de souffler, de se décaler du rythme imposé par le travail en entreprise, afin de renouer avec son rythme interne dans un espace libéré de tout jugement où il est invité à jouer, à créer à partir de son vécu et ses ressentis.
Si vous vous sentez concerné par le burn-out et que vous êtes intéressé par des séances d’art-thérapie ou de médiations artistiques, contactez moi.
Sachez que j'interviens en entreprise, pour des groupes ou en séances en individuel.
Le burn-out dans le classement international des maladies. Quelques jours après la publication de mon article […]